Deuxième guerre mondiale mais le pensionnat demeure libre et continu sa mission, la communauté est en plein essor, rajeunie par l’arrivée de plusieurs sœurs. Elle en compte 11.
Deuxième guerre mondiale mais le pensionnat demeure libre et continu sa mission, la communauté est en plein essor, rajeunie par l’arrivée de plusieurs sœurs. Elle en compte 11.
C’est l’ouverture de l’Ecole Ménagère.
Commémoration du Centenaire de l’arrivée des Religieuses à Hirson.
Les besoins de la religion nécessitent la formation de secrétaire sténo-dactylo, aide comptable, c’est donc l’ouverture de l’Ecole Technique, qui remplace l’Ecole Ménagère.
Les effectifs sont de 290 élèves dont 67 internes.
Construction de 4 classes scolaires et une salle de sport.
Célébration du jubilé de 70 ans de vie religieuse de Soeur Emilie.
L’effectif est en nette progression, un bloc scolaire surgit de terre durant les vacances, à la rentrée il est capable d’accueillir deux classes élémentaires 1ere année et deux classes de cours préparatoires.
Célébration du jubilé de 25 ans de vie religieuse de Soeur François d’Assise.
Située à Hirson, l’institution de l’Enfant Jésus est un ancien pensionnat de jeunes filles dit « de madame Bochard.».
En 1854, des religieuses, les Soeurs de l’Enfant Jésus, succédant aux religieuses de Saintes Thérèse d’Avesne sont envoyées à Hirson. Elles dispenseront leur enseignement dans la salle Jeanne d’Arc de cet établissement, cette salle, qui avait également une entrée rue de Guise, servira de chapelle, après l’incendie de l’église.
En 1886, une proposition est adressée au Conseil Municipal demandant de convertir le pensionnant de Mme Bochard en collège communale de jeunes filles.
En 1887, à la demande de Mme Bochard, l’Ecole secondaire de jeunes filles devient Ecole primaire supérieure de jeunes filles.
1892, l’immeuble de Mme Bochard nécessite des travaux importants et est loué pour établir une école libre de jeunes filles.
1893 c’est cette année là que le pensionnat est construit, tel qu’il apparait encore aujourd’hui. La loi sur les associations du 1er juillet 1901, soumet l’existence des écoles congréganistes, se qui entraine l’expulsion des religieux et la disparition de leur école. Cette école de fille n’échappe à la règle.
En 1902, une pétition est signée par quelques Hirsonnais, réclamant le retour des Soeurs.
En 1904, en octobre, la ville veut racheter l’établissement, toujours inoccupé, à l’Abbé Lelong. Celui-ci en veut un prix inacceptable et est donc contraint par le Maire à céder son immeuble.
1905, en janvier, suite à une enquête commodo incommodo, 61 protestations sont émises contre ce projet.
1914, l’occupation allemande prend possession de l’établissement rue Camille Desmoulins et en fait un hôpital, qui deviendra «Lazaret 1». Le pensionnat rue de Guise (pensionnat de l’Enfant Jésus aujourd’hui) recevra les nombreux malades refoulés de l’hôpital. Les élèves eurent classe dans une maison rue de l’Industrie.
1918, environ un mois après l’armistice, le Conseil Municipal décide de faire de l’établissement, un refuge pour les rapatriés et les évacués qui sont de retour.
1926, des commerçants, notables et particuliers d’Hirson ont formé une SARL ayant pour objet principal l’exploitation de la maison à usage de pensionnat de jeunes filles et dont la dénomination est «Pensionnat de l’Enfant Jésus».
La salle des fêtes de l’établissement dont l’entrée se trouve rue Thiers, fut le cinéma Jeanne d’Arc, puis le cinéma familial entre 1930 et 1940.
C’est en 1968 que le Conseil Municipal décide «d’étendre aux élèves du Pensionnat de l’Enfant Jésus, domicilés à Hirson, l’attribution des fournitures scolaires gratuites.»
Michel Derniame et Dominique Coutellier
Juin 2015
Notre projet d’établissement s’appuie sur les quatre valeurs de la Charte de l’Enseignement Catholique de l’Aisne :
En Jésus-Christ / Enseigner, éduquer et former / Ensemble / Des hommes et des femmes debout.
L’application du projet d’établissement est une œuvre collective, trouvant sa source dans l’Evangile et dans la tradition de l’église ; il nécessite la collaboration de toute la communauté éducative : élèves, parents, éducateurs, direction, gestionnaire, personnel, etc. Cette responsabilité partagée par les différents acteurs s’exerce à toutes les étapes du projet : sa conception, sa réalisation et son évaluation.
Télécharger la Charte de l’Enseignement Catholique
La multiplicité de nos projets pédagogiques, notre ouverture à l’international ( nouveauté : programme Erasmus +), notre engagement pour l’Eco Label, la qualité de nos résultats au brevet des collèges, sont autant de signes de la vitalité du projet éducatif que nous souhaitons vivre avec tous les membres de la communauté éducative.
A l’Enfant Jésus, la société API, avec laquelle nous travaillons, livre les matières premières une fois par semaine. Les menus sont choisis avec API et Mme Beaurain Corinne, notre cuisinière.
Tous les produits sont frais et locaux, que ce soient la viande et les légumes ; le plus possible, nous utilisons des produits bio. Et nous respectons aussi la loi Egalim qui prévoit un menu végétarien par semaine.
Tout est cuisiné sur place : les entrées, les plats chauds et les gâteaux.
Durant l’année scolaire, et selon les différents évènements organisés dans l’établissement, des menus à thèmes sont proposés : semaine de l’Europe avec des menus adaptés “au pays mis à l’honneur” ce jour là ; mais aussi un menu typique pour le nouvel an chinois, de la galette des rois début janvier, des crêpes pour la chandeleur, le menu de Noël.
Enfin, plusieurs fois dans l’année, nous organisons des barbecues et des piques-niques.
Si vous souhaitez inscrire votre enfant à l’Enfant Jésus pour la rentrée 2025, vous pouvez prendre rendez-vous dès à présent avec le cheffe d’établissement en téléphonant au secrétariat au 03 23 58 01 97 .
Cette rencontre est nécessaire pour valider l’inscription.
A noter que les bourses nationales (pour ceux qui peuvent y prétendre) permettent de diminuer le coût de la scolarité. De même que la garderie du soir pour les enfants de moins de 6 ans est à déclarer dans les frais de garde pour les impôts et que cela permet de les diminuer.